Concernant le traitement contre les moustiques, il faut faire une distinction essentielle qui concerne la manière dont pondent les différentes espèces de Culicidés. Certaines (genre Aedes) pondent leurs œufs sur des zones humides temporaires, donc dans des secteurs susceptibles de se mettre en eau et de s’assécher au gré des conditions climatiques. Leurs œufs peuvent survivre à la dessiccation pendant plusieurs jours ou semaine. D’autres espèces (genres Culex, une partie des Anopheles) pondent leurs œufs à la surface des eaux stagnantes. C’est ceux que nous trouvons près des étangs ou en Camargues par exemple
Pour les Aedes, la prolifération en très grand nombre est due à des événements climatiques importants (fortes précipitations après une longue période de sécheresse). Il y a alors apparition concomitante d’une très grande quantité de larves aquatiques, due à la submersion d’une grande quantité d’œufs. Quelques jours plus tard, les adultes (imago) vont apparaître.
Ceci est un phénomène naturel qui n’a rien à voir avec une action anthropique. Dans ce cas, le moustique ne peut être considéré que comme un bio-indicateur.
Alors que les populations humaines s’étendent et gagnent du terrain sur les forêts et zones humides, alors que certains insectivores naturels des moustiques (reptiles insectivores, amphibiens, batraciens, chauve souris…) sont en forte régression dans tout ou partiede la planete, et alors que certaines espèces de moustiques se sont adaptés à la plupart des insecticides et produits de traitement utilisés, la gestion des populations de moustiques et des milieux naturels et les moyens chimiques et techniques utilisés pour la gestion des risques écoépidémiologiques posés par certaines espèces de moustiques (comme pour les tiques ou d’autres espèce vectrices (lutte vectorielle) de maladies ou gênantes pour l’agriculture) posent des questions bioéthiques et d’éthique environnementale complexes.
De même, pour les autres espèces appartenant aux genres cité ci-dessus, même si parfois leur nombre augmente avec la teneur en matière organique, il est toujours délicat de les utiliser comme bio-indicateurs.
Les produits doivent donc être bien utiliser pour éliminer ce parasite volant, ainsi que de multiples solutions existent pour lutter contre lui.
Vous pouvez le gazer lorsqu’il est enfermé ou diffuser des odeurs, des infra-sons aussi peuvent être utiles pour les faire fuir.
Toutes les solutions sont bonnes pour vous protéger et VIVEONIS-boutique.fr s’est voulu le plus complet possible en la matière d’offre olfactive.

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